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Après 114 jours de changement, le PDG de Broadcom avoue le « malaise » lié à VMware,
Les changements comprennent la reprise des comptes clients, la transition vers des licences d'abonnement

Le , par Bruno

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Le PDG Hock Tan admet un « malaise » parmi les clients et partenaires en raison des changements radicaux après l'acquisition de VMware par Broadcom. Bien que des progrès substantiels aient été réalisés, les actions de Broadcom ont suscité des inquiétudes. Ces changements comprennent la reprise des comptes clients, la fin du programme de partenariat VMware et la transition vers des licences d'abonnement, entraînant des hausses de prix significatives.

Tan défend ces mesures comme des moyens d'innovation et de meilleure réponse aux besoins des clients, mais les réactions négatives persistent. Pendant ce temps, Tan bénéficie d'une énorme rémunération tandis que VMware subit des réorganisations internes et des cessions d'activités. Malgré les assurances de stabilité financière, les incertitudes persistent quant à l'avenir de VMware sous la direction de Broadcom.



Broadcom Corporation, fondée en 1991 par Henry Samueli et Henry Nicholas, émergea initialement à Westwood, Los Angeles, avant de déménager à Irvine, Californie, en 1995. Trois ans plus tard, elle entra sur le marché public via le NASDAQ, marquant le début d'une croissance soutenue grâce à une stratégie d'acquisitions agressives. Son expansion s'est consolidée avec l'achat de ServerWorks Corporation en 2001, une entreprise lucrative spécialisée dans les puces pour serveurs IA-32. Cette acquisition contrastait avec celles précédentes, souvent de jeunes pousses en difficulté.

En 2016, Broadcom fut acquise par Avago Technologies pour 37 milliards de dollars, se transformant ainsi en une filiale à part entière de la fusion baptisée Broadcom Inc. Cette opération s'inscrit dans une trajectoire impressionnante pour Broadcom, qui a su gravir les échelons pour devenir un acteur majeur de l'industrie des semi-conducteurs. En 2012, son chiffre d'affaires s'élevait déjà à 8,01 milliards de dollars, tandis que ses performances lui ont valu une place dans le classement Fortune 500 dès 2009, atteignant la 327e position en 2013.

Broadcom se positionne pour moderniser les environnements de cloud avec l'acquisition de VMware

VMware LLC, basée à Palo Alto, en Californie, est une entreprise américaine spécialisée dans les technologies de virtualisation et de cloud computing. Fondée en 1998 par Diane Greene, Mendel Rosenblum et d'autres, elle a été pionnière dans la virtualisation de l'architecture x86 et a connu une croissance rapide depuis ses débuts modestes à Berkeley. L'entreprise est devenue publique en 1999 et a continué à élargir son portefeuille de produits, y compris VMware ESXi, un hyperviseur logiciel d'entreprise.

En mai 2022, Broadcom Inc. a annoncé son intention d'acquérir VMware pour 69 milliards de dollars, finalisant l'opération en novembre 2023. Cette acquisition a été marquée par des réorganisations internes, notamment des licenciements massifs et une transition vers des offres d'abonnement exclusives. En février 2024, une fuite a révélé que Broadcom envisageait de vendre l'unité commerciale End-User Computing de VMware à KKR, marquant une nouvelle évolution dans le paysage de l'entreprise.

Hock Tan, président et directeur général de Broadcom, a déclaré : « Nous sommes ravis d'accueillir VMware au sein de Broadcom et de réunir nos équipes centrées sur l'innovation et l'ingénierie, alors que nous franchissons une nouvelle étape importante dans la construction de la première entreprise mondiale de technologie d'infrastructure. Avec une orientation commune vers la réussite des clients, nous sommes ensemble bien positionnés pour permettre aux entreprises mondiales d'adopter des environnements de clouds privés et hybrides, en les rendant plus sûrs et plus résilients. Broadcom investit depuis longtemps dans les entreprises qu'il acquiert afin de favoriser une croissance durable, et cela se poursuivra avec VMware, pour le plus grand bénéfice des parties prenantes que nous servons. »

L'objectif de Broadcom pour aller de l'avant est de permettre aux entreprises clientes de créer et de moderniser leurs environnements de cloud privé et hybride. Au cœur de cette démarche, Broadcom investira dans VMware Cloud Foundation, la pile logicielle qui sert de base aux clouds privés et hybrides. En complément de l'investissement de Broadcom dans VMware Cloud Foundation, VMware proposera un riche catalogue de services pour moderniser et optimiser les environnements cloud et périphériques, notamment VMware Tanzu pour accélérer le déploiement des applications, ainsi que des services de mise en réseau des applications (équilibrage de charge) et de sécurité avancée, et VMware Software-Defined Edge pour les périphéries Telco et d'entreprise.

Cependant, l’acquisition n’a pas été sans conséquences pour les employés de VMware, qui ont été confrontés à des licenciements massifs après la clôture de la transaction. Les employés dont les postes ont été supprimés ont reçu un courriel qui disait : « Broadcom a récemment finalisé son acquisition de VMware. Dans le cadre de la planification de l'intégration et suite à une évaluation des besoins organisationnels, nous avons identifié les rôles futurs qui seront requis au sein de l'entreprise issue de la fusion. Nous avons le regret de vous informer que votre poste est supprimé et que votre emploi prendra fin ».

« Nous tenons à vous remercier pour votre dévouement et vos services. Nous souhaitons rendre cette transition aussi fluide que possible, notamment en vous offrant une généreuse indemnité de départ et en vous accordant un délai de préavis payé en cas de non-travail », était-il indiqué dans le courriel. Broadcom a annoncé la fin des licences perpétuelles pour VMware et le passage aux souscriptions à des abonnements. « Après la date de validité des licences perpétuelles, les clients ne pourront plus acheter de nouvelles. Ils pourront plutôt souscrire à des abonnements ou des licences à durée déterminée pour compléter ou remplacer leur base d'installation actuelle sous licence perpétuelle », indique Broadcom dans la note d’information relative au changement de formule.

« C'est le moment idéal pour les clients d'évaluer l'état actuel de leurs produits d'infrastructure et de gestion VMware. Nous les encourageons à revoir leur inventaire de licences perpétuelles, y compris les cycles d'actualisation et les dates de renouvellement, et à se familiariser avec les offres d'abonnement de VMware. Les clients peuvent également contacter leur représentant VMware ou partenaire pour plus d'informations », ajoute l’entreprise.

Le 25 janvier 2024, Dell Technologies a officiellement notifié Broadcom Inc. de la résiliation de l'accord-cadre commercial, signé le 1er novembre 2021, avec VMware, Inc. Conformément aux termes de l'accord, en cas de changement de contrôle de l'une des parties, l'autre partie a le droit de résilier l'accord avec un préavis écrit de 60 jours. Cet accord régissait divers aspects des relations commerciales entre les deux entités, y compris le rôle de Dell en tant que distributeur des produits et services VMware, ainsi que la collaboration sur des solutions spécifiques et des initiatives de mise sur le marché, comme précisé dans le document déposé auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis.

VMware a rompu ses liens avec Dell en novembre 2021, exprimant immédiatement son intention de rechercher de nouveaux partenaires et de procéder à des acquisitions. En conséquence, Dell Technologies a officiellement détaché VMware en tant qu'entité logicielle distincte et indépendante, finalisant une transaction en avril pour se défaire de sa participation de 80,5 % dans l'entreprise, comme en atteste un dépôt auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis soumis par le spécialiste de la virtualisation.

Dell avait acquis VMware en 2016 dans le cadre d'une fusion de 67 milliards de dollars avec EMC, qui a alors donné naissance à la plus grande entreprise privée du monde. Cependant, cette fusion s'inscrit dans une série d'acquisitions qui ont considérablement augmenté la dette de Dell. Pour alléger cette charge financière, Dell a commencé à céder ses acquisitions, libérant VMware de ses actifs dans le processus. Actuellement, Dell montre une certaine hésitation à s'engager dans des acquisitions d'envergure, privilégiant des fusions et acquisitions ciblées, selon les déclarations du PDG Michael Dell en septembre dernier.

En revanche, le PDG de VMware, Raghu Raghuram, semble avoir gagné une plus grande marge de manœuvre suite à l'annonce récente de l'indépendance vis-à-vis de Dell. Il a souligné que cette autonomie offrait une « flexibilité accrue » pour utiliser les fonds propres en vue de futures acquisitions, renforçant ainsi la compétitivité de l'entreprise. Notamment, VMware peut désormais explorer des partenariats en matière d'infrastructure et d'informatique dématérialisée avec des entreprises autres que Dell.

Raghuram a souligné que, en tant qu'entité autonome, VMware a la possibilité de renforcer ses partenariats avec toutes les entreprises d'infrastructure, tant sur site que dans le cloud, pour créer une base plus solide au bénéfice de leurs clients. Il a également affirmé que cette décision renforcerait la mission de VMware d'être la « Suisse de l'industrie du cloud ». Malgré l'indépendance, Raghuram a réaffirmé la solidité du partenariat entre VMware et Dell, en particulier sur l'infrastructure et les produits cloud.

Selon le dépôt auprès de la SEC, VMware prévoit de verser un dividende de 11,5 milliards de dollars, soit 27,40 dollars par action, dans le cadre de la transaction. Pour chaque action détenue, les actionnaires de Dell recevront 0,440626 action VMware, comme indiqué dans un document déposé par Dell auprès de la SEC. En conséquence, Dell a enregistré une hausse de 1,38 % à la bourse de New York, atteignant 111,52 dollars, tandis que VMware, avec une valorisation boursière actuelle de 64 milliards de dollars, a connu une augmentation de 0,49 %, atteignant 152,45 dollars.

Citation Envoyé par Hock Tan, président et directeur général
Nous avons récemment franchi le cap des 100 jours depuis que VMware a rejoint Broadcom. Même s'il reste encore beaucoup à faire, nous avons accompli des progrès considérables dans la construction de la première entreprise mondiale de technologies d'infrastructure. Au cours des 18 mois qu'a duré le processus d'évaluation et d'acquisition de VMware, nous avons tout examiné afin d'identifier ce qui était nécessaire pour créer plus de valeur pour nos clients. Depuis la conclusion de l'acquisition fin novembre, nous avons pris des mesures décisives pour accroître la valeur pour nos clients.

Nous avons remanié notre portefeuille de logiciels, notre approche du marché et notre structure organisationnelle globale. Nous avons modifié la manière dont nous vendons nos logiciels et par l'intermédiaire de qui nous les vendons. Et nous avons achevé la transition du modèle commercial des logiciels qui a commencé à s'accélérer en 2019, passant de la vente de logiciels perpétuels à des licences d'abonnement uniquement - la norme de l'industrie.

Bien sûr, nous reconnaissons que ce niveau de changement a créé, à juste titre, un certain malaise parmi nos clients et partenaires. Mais toutes ces mesures ont été prises dans le but d'innover plus rapidement, de répondre plus efficacement aux besoins de nos clients et de faire en sorte qu'il soit plus facile de faire des affaires avec nous. Nous nous attendons également à ce que ces changements se traduisent par une plus grande rentabilité et de meilleures opportunités de marché pour nos partenaires. Au-delà de notre engagement à simplifier l'organisation et le portefeuille, et à rendre nos produits plus faciles à acheter, à déployer et à utiliser, nous nous sommes engagés à investir 1 milliard de dollars dans l'innovation.
L'acquisition de VMware par Broadcom et les changements radicaux qui en ont résulté soulèvent des préoccupations légitimes quant à l'avenir de l'entreprise et de ses relations avec les clients et les partenaires. La décision de Broadcom de reprendre les comptes clients, de mettre fin au programme de partenariat VMware et de transitionner vers des licences d'abonnement a suscité des réactions négatives importantes, tant chez les clients que chez les partenaires.

Bien que le PDG Hock Tan défende ces mesures comme des moyens d'innovation et de meilleure réponse aux besoins des clients, les augmentations de prix significatives qui en ont résulté ont alimenté les préoccupations et le mécontentement. Les clients et les partenaires qui ont historiquement collaboré avec VMware peuvent ressentir une perte de confiance dans la stabilité et la prévisibilité de leur relation d'affaires.

Broadcom va-t-il « tuer » VMWare ?

L'acquisition de VMware par Broadcom suscite encore des préoccupations majeures quant à ses implications pour l'industrie technologique. Tout d'abord, cette fusion représente un nouvel exemple de consolidation excessive sur le marché, où un petit nombre d'acteurs dominants contrôlent une part disproportionnée du secteur. Cette concentration de pouvoir risque de limiter la concurrence, ce qui pourrait entraîner une diminution de l'innovation et des options pour les consommateurs, tout en favorisant une hausse des prix.

De plus, les divergences stratégiques entre VMware et Broadcom soulèvent des inquiétudes quant à la direction future de l'entreprise. Tandis que VMware est reconnu pour ses avancées dans la virtualisation et le cloud computing, Broadcom se concentre davantage sur les semi-conducteurs et les infrastructures réseau. Cette acquisition pourrait détourner l'attention de VMware des domaines dans lesquels il excelle, compromettant ainsi sa capacité à innover et à répondre aux besoins changeants du marché.


Certains observateurs avancent l'idée que Broadcom, en tant que société technologique diversifiée, dispose de solides atouts stratégiques et de ressources financières considérables susceptibles d'être mobilisés pour perturber ou éliminer VMware. Cette opinion repose en partie sur les acquisitions antérieures de Broadcom dans des secteurs technologiques similaires, suggérant une volonté d'étendre son influence dans le domaine informatique.

Les investisseurs ou analystes qui évoquent cette perspective pourraient également se baser sur des tendances observées dans le secteur technologique, telles que la consolidation des entreprises et les mouvements stratégiques visant à renforcer leur position concurrentielle. Dans ce contexte, Broadcom pourrait être perçu comme une entreprise capable de consolider ses activités et d'adopter une approche agressive pour s'imposer sur des marchés clés.

Des tensions concurrentielles peuvent surgir lorsque deux entreprises opèrent dans des secteurs similaires ou offrent des produits concurrents, ce qui peut alimenter les spéculations sur les intentions de l'une par rapport à l'autre.

Un autre point de préoccupation important est la perte d'indépendance de VMware en tant qu'entité distincte. Suite à l'acquisition, VMware pourrait ne plus bénéficier de la même liberté pour collaborer avec différents partenaires et concurrents, ce qui pourrait entraver l'innovation et nuire à une concurrence saine. Sous la direction de Broadcom, la capacité de VMware à agir dans l'intérêt supérieur de ses clients et de l'industrie dans son ensemble pourrait être compromise.


Enfin, il est à craindre qu'une stagnation de l'innovation se produise au sein de VMware à la suite de cette acquisition. Les objectifs financiers à court terme de Broadcom pourraient prendre le dessus sur les initiatives de développement à long terme de VMware, entraînant une focalisation sur les gains immédiats au détriment des progrès technologiques durables. Cette situation pourrait ralentir le développement dans des domaines essentiels tels que la sécurité des données et l'optimisation des performances des infrastructures informatiques.

Dans l'ensemble, l'acquisition de VMware par Broadcom représente une évolution inquiétante pour l'industrie technologique, avec le risque de compromettre l'innovation, la concurrence et les intérêts des clients.

Source : Broadcom

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?

Pensez-vous qu'il existe des raisons sous-jacentes qui ont motivé Broadcom à mettre en œuvre ces changements radicaux après l'acquisition de VMware ?

Dans quelle mesure les rémunérations importantes accordées à Hock Tan sont-elles en phase avec les résultats financiers et l'orientation stratégique de VMware sous la direction de Broadcom ?

Voir aussi :

Dell met fin à son accord de distribution avec VMware après l'acquisition de Broadcom, influencée par l'arrêt des licences VMware perpétuelles par Broadcom

Broadcom met fin aux licences perpétuelles de VMware, annonce le passage aux souscriptions à des abonnements et ravive le débat dans la Tech sur les avantages et inconvénients de chaque formule

Broadcom licencie des employés de VMware après avoir finalisé son acquisition de 69 milliards de dollars : « Nous souhaitons vous remercier pour votre dévouement et votre service »

Broadcom, le fabricant de puces, finalise l'acquisition de VMware, une façon originale de perdre 60 milliards de dollars ?

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Avatar de jpouly
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 22/03/2024 à 18:21
Les éditeurs de logiciels deviennent de vrais escrocs, si ce n'était pas le cas déjà avant.

Ils ne vendent plus des logiciels mais des ransomwares.

Il est tant que les clients y mettent fin et que les législateurs réagissent.
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Avatar de denisys
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 22/03/2024 à 20:19
Aux clients déçus de l’attitude de Broadcom envers les produits VMware.
Je leurs dis : Testez promox !!!
https://www.proxmox.com/en/proxmox-v...nment/overview
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 23/03/2024 à 7:07
Aux clients déçus de l’attitude de Broadcom envers les produits VMware.
Je leurs dis : Testez promox !!!
tout à fait , ou Hyper-V

Et pour les FAI, il y a: OpenStack déjà massivement utilisé par ailleurs.
6  0 
Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 23/05/2024 à 19:57
Je vais pas pleurer pour eux.
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Avatar de denisys
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 12/09/2024 à 18:24
Allez Proxmox !!!
Invitez vos clients, vos DSI a essayer Proxmox .
Montrez leurs, qu’ici sur : https://www.developpez.com/
Nous connaissons cette solution, et que nous avons des tutoriels, a leurs dispositions !!!

***

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https://chrtophe.developpez.com/tutoriels/proxmox/
4  0 
Avatar de sergio_is_back
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 12/09/2024 à 18:30
Citation Envoyé par denisys Voir le message
Allez Proxmox !!!
Invitez vos clients, vos DSI a essayer Proxmox .
Montrez leurs, qu’ici sur : https://www.developpez.com/
Nous connaissons cette solution, et que nous avons des tutoriels, a leurs dispositions !!!

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https://chrtophe.developpez.com/tutoriels/proxmox/
J'ai une machine PROXMOX depuis un petit mois et franchement ça marche pas mal
Léger, efficace, bon la documentation est un peu touffue mais on n'a rien sans rien
Moi qui était habitué à ESXi je vois une nette différence de performances

Les containers sont un plus appréciable, déployer un serveur en quelques secondes c'est hyper agréable
4  0 
Avatar de Vitalnet
Futur Membre du Club https://www.developpez.com
Le 30/03/2024 à 14:33
Proxmox, la migration d'une VM s'effectue à chaud au sein d'un cluster et l'utilisation d'un stockage de type CEPH. Cette opération est aussi simple que de la création. Si l'option haute disponibilité est configurée, cela procure l'avantage que si un nœud (serveur) tombe en panne pour une raison quelconque, les machines virtuelles de ce serveur se déplaceront automatiquement vers un autre nœud. Pour ce faire, ils utilisent le quorum (un vote est effectué et le gagnant obtient les machines virtuelles du nœud défaillant).

L'autre avantage provient des conteneurs LXC pour des services de type Linux, la gestion du service a une faible emprunte sur les performances globales. Cela change de VM Ware et au-delà de Docker.

Après la migration d'une infrastructure VM Ware vers une plate-forme matérielle plus récente, assurant la production, les anciens matériels sont conservés à titre de développement, d'intégration et de recette, seul VM Ware a cédé la place à Proxmox 8 qui a migré et repris les VM. Celles sous Windows sont restées, les VM Linux sont converties en conteneur. A la vue des performances obtenues par cette plate-forme, VM Ware sera remis en cause lors de la prochaine migration matérielle.

Cette migration a demandé pas mal d'huile de coude, par le changement des paradigmes, des habitudes, etc.
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 12/09/2024 à 21:05
Allez Proxmox !!!
Invitez vos clients, vos DSI a essayer Proxmox .
Montrez leurs, qu’ici sur : https://www.developpez.com/
Nous connaissons cette solution, et que nous avons des tutoriels, a leurs dispositions !!!

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Merci pour la pub.

J'ai fait un gros update dessus qui devrait être mis en ligne d'ici quelques temps, je posterais ici sa disponibilité.
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Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 01/11/2024 à 10:54
La suite vmWare va bien au delà d’un simple hyperviseur. Chez nous il permet de créer des environnements pour des directeurs d’applications. Ces derniers ont alors des droits permettant de créer et gérer des machines virtuelles dans le cadre de ces environnements, avec des quotas, sans interférence avec les environnements des collègues. D’autres fonctions sont disponibles (micro segmentation, affinité ou anti-affinités, etc). L’architecture physique est masquée aussi (on demande une VM, le système en crée une sur le serveur où il y a de la place). VMotion permet de migrer une VM d’un serveur à l’autre, ce qui permet des migrations à chaud.

On est très loin d’un QEmu ou KVM pris tout seul.

Une piste que l’on regarde est le manageur Kubernetes Rancher de Suse avec Kubevirt pour avoir des machines virtuelles.
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 01/11/2024 à 20:26
Proxmox couvre globalement ce que propose VMWare et ce gratuitement. On peut faire de la réplication, de la migration à chaud, de la haute disponibilité.

Il y a aussi OpenNebula, OpenStack.
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