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VMware, la pépite de Broadcom : l'acquisition s'avère être un investissement encore plus rentable qu'espéré.
Les marges sont passées de moins de 30 % à 70 % tandis que les coûts ont diminué

Le , par Stéphane le calme

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VMware, la pépite de Broadcom : l'acquisition s’avère être un investissement encore plus rentable qu’espéré,
les marges sont passées de moins de 30 % à 70 % tandis que les coûts ont diminué

Broadcom a déclaré aux investisseurs que son intégration de VMware était pratiquement terminée, en avance sur le calendrier, et qu'elle avait transformé le géant de la virtualisation en une machine à sous encore plus prolifique qu'elle ne l'espérait. S'exprimant lors de la conférence téléphonique sur les résultats du quatrième trimestre 2024 du conglomérat géant, le PDG de Broadcom, Hock Tan, a déclaré aux investisseurs que les coûts trimestriels de VMware étaient passés d'une moyenne de 2,4 milliards de dollars à 1,2 milliard de dollars au cours de ce trimestre, et que les marges étaient passées de moins de 30 pour cent à 70 pour cent. Il n'a pas donné des détails sur les recettes de Virtzilla et a déclaré que Broadcom ne le ferait plus.

Il a également partagé les plans ambitieux de l’entreprise pour développer des puces IA sur mesure pour trois grands clients du cloud, avec l’intention de les déployer dans des clusters en réseau d’ici 2027. Le marché potentiel pour ces processeurs IA avancés et composants de réseau pourrait varier entre 60 milliards et 90 milliards de dollars au cours des prochaines années.


Broadcom, géant des semi-conducteurs et des infrastructures technologiques, a récemment fait l’éloge de sa récente acquisition, VMware, affirmant que l’entreprise s’avère être une machine à générer des revenus encore plus performante que prévu. Cette déclaration marque un tournant pour Broadcom, qui mise depuis plusieurs années sur une diversification stratégique en intégrant des acteurs majeurs du logiciel dans son portefeuille.

Une acquisition stratégique

Broadcom a finalisé l'acquisition de VMware fin 2023 pour un montant de 69 milliards de dollars. Et presque immédiatement, le géant des semiconducteurs a déclenché une tempête de feu en apportant des changements majeurs au catalogue de produits de VMware, notamment en modifiant les licences logicielles et en mettant fin à certains produits.

Par exemple, l’entreprise a annoncé la fin des licences perpétuelles pour VMware et le passage aux souscriptions à des abonnements :

« Après la date de validité des licences perpétuelles, les clients ne pourront plus acheter de nouvelles. Ils pourront plutôt souscrire à des abonnements ou des licences à durée déterminée pour compléter ou remplacer leur base d'installation actuelle sous licence perpétuelle », indique Broadcom dans la note d’information relative au changement de formule.

« C'est le moment idéal pour les clients d'évaluer l'état actuel de leurs produits d'infrastructure et de gestion VMware. Nous les encourageons à revoir leur inventaire de licences perpétuelles, y compris les cycles d'actualisation et les dates de renouvellement, et à se familiariser avec les offres d'abonnement de VMware. Les clients peuvent également contacter leur représentant VMware ou partenaire pour plus d'informations », ajoute l’entreprise.

Ces modifications brutales ont impacté fortement les organisations, plusieurs clients ayant vu leurs coûts de licence multipliés par 12. Selon les acteurs européens du cloud, les « tactiques brutales » de Broadcom décimeront le marché indépendant de cloud computing de l'Europe.

À en croire de récents témoignages, ces tactiques brutales semblent se retourner contre Broadcom.

Computershare, l'opérateur mondial de registres d'actions boursières, semble avoir décidé de faire ses adieux à VMware. Le directeur technique de Computershare, Kevin O'Connor, a exprimé son indignation face à la situation qui prévaut chez VMware depuis l'acquisition de l'entreprise par le géant des semiconducteurs Broadcom. Computershare disposerait de 24 000 machines virtuelles VMware, mais face à l'envolée des coûts de licence et des changements controversés et incessants mis en œuvre par Broadcom, l'entreprise semble avoir pris la décision de migrer vers le concurrent Nutanix au cours de l'année prochaine.

Une étude publiée par Civo a pour sa part indiqué que plus de la moitié des clients de VMware envisagent de quitter la plate-forme sous l'égide de Broadcom

Voici quelques raisons qui ont suscité de l’inquiétude auprès des clients VMware :
  • Augmentation des prix : de nombreux clients ont signalé des augmentations de prix significatives, rendant les services de VMware moins attractifs.
  • Incertitude et complexité : les changements apportés par Broadcom ont introduit une incertitude et une complexité accrues, ce qui a perturbé les opérations des entreprises.
  • Transition vers des abonnements : le passage des licences perpétuelles à des abonnements obligatoires a également été mal accueilli par les clients.

Malgré tout...


Des performances au-delà des attentes

Lors de sa dernière communication financière, Broadcom a révélé que les bénéfices générés par VMware dépassaient déjà ses prévisions initiales. Hock Tan, PDG de Broadcom, a souligné que VMware non seulement atteignait, mais surpassait les objectifs en termes de rentabilité et de croissance des marges. Cela s’explique par une meilleure intégration des services VMware au sein de l’offre Broadcom et par une optimisation des coûts.

En outre, VMware bénéficie d'une forte demande pour ses produits liés au cloud hybride, un secteur en pleine expansion, où les entreprises recherchent des solutions pour gérer efficacement leurs infrastructures sur site et dans le cloud.

Il a utilisé deux autres indicateurs pour décrire les progrès de VMware : les cœurs de processeur couverts par les ventes de nouveaux abonnements et la valeur de réservation annuelle (ABV). Cette dernière, qui mesure la valeur des revenus futurs provenant des abonnements, a vu la conclusion de contrats d'une valeur de 2,7 milliards de dollars au cours du trimestre, soit une augmentation de 200 millions de dollars par rapport au troisième trimestre. Tan a révélé que VMware a vendu des abonnements pour 21 millions de cœurs de processeurs au cours du trimestre, contre 19 millions au troisième trimestre.

Le PDG a également déclaré aux investisseurs que 17 millions de ces cœurs nouvellement vendus seront utilisés pour exécuter la suite phare de cloud privé VMware Cloud Foundation (VCF), et que 4 500 des 10 000 premiers clients VMware de Broadcom se sont inscrits à VCF depuis l'acquisition.

Le chiffre d'affaires annuel de la division logicielle de Broadcom a atteint 21,5 milliards de dollars, contre 7,6 milliards de dollars pour l'exercice 2023, soit une augmentation de 13,8 milliards de dollars. La dernière année complète de chiffre d'affaires de VMware en tant qu'entreprise indépendante était de 13,4 milliards de dollars, et Broadcom n'a pas possédé le géant du logiciel pendant quelques semaines de son exercice 2024 et ne peut donc pas compter quelques centaines de millions de dollars de chiffre d'affaires.

Il semble donc que les revenus de VMware augmentent et que la stratégie de Broadcom fonctionne.


Des pertes de clients qui s'enchaînent

Broadcom a perdu un autre client important. L'opérateur de cloud basé au Royaume-Uni, Beeks Group, a décidé d'adopter la pile open source OpenNebula en lieu et place de VMware. Motif : une hausse de 1000 % des coûts des services qui l'a poussée à réévaluer sa relation avec Broadcom. Le cas Beeks Group vient s’inscrit dans ce qui apparaît désormais une tendance avec un nom : exode de VMware.

De nombreux clients de VMware indiquent que les coûts de VMware ont augmenté 300 % après le rachat par Broadcom. Certaines entreprises ont évoqué des hausses de prix encore plus importantes, notamment AT&T, qui a affirmé que Broadcom avait proposé une hausse de prix de 1 050 %. AT&T poursuit Broadcom au sujet de la prise en charge de la licence perpétuelle et déclare avoir envisagé d'autres solutions pour VMware.

Le fournisseur de services d'assistance informatique Encore Technologies est en train de migrer de VMware à OpenNebula. Bradley Bishop, responsable DevOps d'Encore Technologies, a expliqué que la multiplication par trois des coûts de VMware sous Broadcom a poussé l'entreprise à essayer d'autres produits. L'augmentation des coûts est due au fait que Broadcom a regroupé toutes les offres de VMware en deux postes, a-t-il expliqué.

« À moins d'utiliser l'ensemble de la gamme de produits VMware, de nombreuses entreprises ont été contraintes de payer pour des choses qu'elles ne voulaient pas ou dont elles n'avaient pas besoin », a-t-il ajouté.

Dean Colpitts, directeur de la technologie chez Members IT Group, client canadien de VMware et fournisseur de services gérés, a partagé les mêmes sentiments, ajoutant que « Broadcom n'est tout simplement pas à l'écoute de ce que les clients disent vouloir ou avoir besoin » lorsqu'il s'agit de produits et de fonctionnalités VMware, en particulier ceux qui concernent les petites et moyennes entreprises.

Les coûts de VMware Enterprise Edition pour le Lake Land College de l'Illinois ont augmenté de 300 % « sans fonctionnalités/avantages supplémentaires », a déclaré James Westendorf, directeur des services techniques. Lake Land utilise VMware depuis 2008, mais en tant qu'établissement d'enseignement supérieur communautaire, son budget est limité, explique Westendorf


Des revenus de l'IA qui explosent

Pour le quatrième trimestre, Broadcom a annoncé un bénéfice par action ajusté de 1,42 $, dépassant les attentes des analystes de 1,38 $. Bien que les revenus globaux aient légèrement manqué les prévisions à 14,05 milliards de dollars contre les 14,09 milliards de dollars attendus, l’augmentation des bénéfices liés à l’IA a dominé le récit.

Broadcom a connu une augmentation substantielle de 220 % de ses revenus liés à l’IA au cours de l’année, atteignant 12,2 milliards de dollars. Cette augmentation est attribuée à une demande accrue pour l’infrastructure IA, y compris les composants de réseau ethernet essentiels pour connecter de vastes réseaux de processeurs IA.

Tan a présenté aux investisseurs deux autres prévisions pour l'activité silicium de Broadcom, qui, selon lui, doit maintenant être examinée dans les segments liés à l'IA et non liés à l'IA.

Le PDG a déclaré aux investisseurs que Broadcom voyait une énorme croissance à venir de la part des clients hyperscale de ses accélérateurs XPU et de l'équipement de réseau associé. Trois clients hyperscale actuels ont l'intention d'utiliser le kit Broadcom pour construire des clusters de millions de XPU - une opportunité à saisir d'une valeur de 60 à 90 milliards de dollars en 2027. Tan a affirmé que Broadcom était « très bien positionnée pour obtenir une part de marché prépondérante dans ce domaine ».

Il a également révélé que Broadcom était en pourparlers avec deux autres hyperscalers au sujet d'accélérateurs personnalisés qui utiliseront sa propriété intellectuelle, ce qui signifie que d'autres grandes opportunités se profilent à l'horizon. Le PDG a salué l'intérêt des hyperscalers pour les produits de Broadcom comme un signe que l'Ethernet est en vogue - une observation importante compte tenu de l'intérêt de Nvidia pour InfiniBand.

Tan a également promis que les XPU de nouvelle génération de Broadcom, construits sur un processus de 3 nm, feront leurs débuts au cours du second semestre 2025. Il a affirmé qu'il s'agirait des premiers produits du marché construits en 3 nm.

Le silicium d'IA alimente la croissance de la division des puces de Broadcom, qui a gagné 8,2 milliards de dollars, soit une augmentation de 12 % par rapport à l'année précédente. Les ventes liées à l'IA ont augmenté de 150 % d'une année sur l'autre pour atteindre 3,7 milliards de dollars, tandis que les autres produits ont baissé de 23 % pour atteindre 4,5 milliards de dollars. Tan a fait remarquer que les puces non liées à l'IA sortaient d'une période creuse et qu'elles allaient se redresser.

Ce qui nous amène à ces deux prévisions : Tan a prédit que les ventes de silicium non liées à l'intelligence artificielle diminueront d'environ 10 % au premier trimestre 2025, tandis que les puces liées à l'intelligence artificielle augmenteront de 65 %.

Broadcom reste en bonne santé. Le chiffre d'affaires trimestriel de 14 milliards de dollars représente un bond de 51 % par rapport à l'année précédente, et le chiffre d'affaires annuel de 51,5 milliards de dollars est en hausse impressionnante de 44 %. Le bénéfice net pour l'ensemble de l'année s'est élevé à 5,9 milliards de dollars, soit une baisse de 8,2 milliards de dollars, mais le flux de trésorerie disponible est important et Tan a déclaré que Broadcom l'utiliserait pour rembourser la dette qu'elle a utilisée pour acquérir VMware.

Source : Broadcom

Et vous ?

Quelle lecture faites-vous de ces résultats ?

Qu'est-ce qui pourrait expliquer que la stratégie de Broadcom marche avec VMware ? Une situation temporaire ou potentiellement pérenne selon vous ? Pourquoi ?

Avez-vous déjà envisagé de changer de fournisseur de cloud en raison d’augmentations de prix ?

Comment Broadcom pourrait-il capitaliser sur les technologies émergentes (comme l'IA générative ou la 5G) pour renforcer VMware ?
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre expert https://www.developpez.com
Le 28/06/2025 à 1:03
Je conseil le boycott, le comportement de Broadcom semble totalement abusif, on est au minimum au niveau du comportement d'HP avec les imprimantes.
Et d'ailleurs, idem pour la majorité des SaaS, quand il n'y a pas de service clair, mais juste un logiciel. Par définition, un service c'est pour un service, pas un logiciel inerte.
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Avatar de Marianus
Futur Membre du Club https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 13:08
Nous avons quitté VMware et utilisons Proxmox depuis des années.
Très stable, beaucoup de fonctionnalités.
Possibilité (pas obligatoire) d'avoir du support à un prix très raisonnable.
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Avatar de Christophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 30/03/2025 à 12:08
Bizarre ça, car une très grosse partie des entreprises passent à HyperV ou Proxmox (ou autre).
Les entreprises historiquement sur VMWare ne peuvent pas migrer du jour au lendemain un nombre conséquent de VM et cela représente un coût. Si les bénéfices de la branche VMWare de Broadcom doivent baisser, ça se fera progressivement, et dans un premier temps l'augmentation des marges compensera la baisse des ventes.

Il y a de fortes chances en tout cas que de nouveaux projets ne soient pas initiés avec VMWare. Et avec le nombres d'article expliquant que certaines entreprises ont migrés beaucoup de VM hors VMWare, il pourra y avoir un effet boule de neige.

Et en cas de serveurs sur le cloud, le cout VMWare, éventuellement inclus avec l'offre n'est pas visible pour les contrôleurs de gestion.
3  0 
Avatar de Christophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 28/06/2025 à 9:40
Avez-vous vécu (directement ou indirectement) la situation rencontrée par ces autres entreprises (mise en demeure, audits) ?
Avec Microsoft, reçu courrier un courrier demandant si on était en conformité sur les licences après achat licences en volume.

Les détenteurs de licences perpétuelles ont-ils réellement tort d’utiliser des correctifs de sécurité installés avant l’expiration du support ?

Est-ce qu’un contrat de licence logicielle devrait interdire l’usage passif de correctifs installés auparavant ?

Un éditeur peut-il modifier unilatéralement la manière dont les licences sont interprétées après coup ?
Je pense qu'il s'agit de clauses abusives.

Le forcing vers les abonnements est-il une stratégie viable à long terme pour Broadcom ?
A votre avis ?

Peut-on parler de vente liée déguisée dans le regroupement forcé de produits VMware dans les nouveaux bundles Broadcom ?
Je pense que Broadcom a le droit d'appliquer ce regroupement forcé, mais que rien n'oblige un client potentiel à accepter.

VMware n'est pas en situation de monopole, plein d'autres produits peuvent le remplacer (gratuit ou non).
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Avatar de Anselme45
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 28/06/2025 à 12:10
Broadcom applique simplement la stratégie qui a été proposée par ses avocats: Y aller au bluffe en faisant peur aux clients, il y en aura qui cèderont et ce sera tout benef pour Broadcom.

D'ailleurs, si vous avez eu affaire à des avocats dans des situations litigieuses, vous aurez constaté que c'est toujours l'approche mis en oeuvre par les avocats "Parler fort et intimider le camp opposé". Quand vous leur répondez avec le même ton, vous n'en entendez plus parlé. Pour quelle raison? Tout simplement parce que si la situation était claire et facilement défendable en justice, ils auraient même pas pris la peine de vous parler, ils auraient obtenu gain de cause par une procédure simple en justice avec 100% de chance de gagner.

La réalité judiciaire est tout autre:

1. Une licence universelle ne peut pas être résiliée (à moins que la société fasse faillite, ce qui n'est pas le cas de Broadcom)

2. Une licence universelle s'apparente à l'achat du logiciel et est donc soumise à une période de garantie dont la durée dépend de loi en vigueur dans le pays concerné (habituellement entre 1 et 2 ans)

Donc:

1. Broadcom ne peut pas empêcher ses clients d'utiliser VMware ni de faire usage des mises à jour couvertes par un abonnement. A la fin de l'abonnement, court toujours la période de garantie qui oblige à corriger gratuitement les défauts constatés.

2. Concernant les mises à jour qui auraient été effectuées par les clients alors qu'ils n'étaient plus soumis à un abonnement: Si cela a été possible, Broadcom est en tort, c'était à eux d'empêcher l'usage d'update hors abonnement.... D'ailleurs, je ne crois pas un instant que cela ait été possible

3. Les clients de Broadcom n'ont qu'une chose à faire, s'assoir sur les lettres envoyées par Broadcom... Je serai très étonné que cette boite ouvre une procédure judiciaire hasardeuse contre chaque client qui leur dira "allez vous faire foutre!"
4  1 
Avatar de damthemad
Membre actif https://www.developpez.com
Le 16/01/2025 à 9:30
Un seul mot : BRAVO.
Prends ça dans ta face Broadcom !
2  0 
Avatar de pierrelpu
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 29/03/2025 à 1:33
Stratégie d'essorage. On rachète une boite, un produit pour faire de la marge.
En multipliant les prix par x 10 ou x 50 parfois.

Forcément les clients trouverons toujours un moyen de ne pas payer.
D'abord en fraudant, puis en fuyant.
2  0 
Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 14/12/2024 à 8:38
c'est une vision de court terme à la Stellantis ou Intel. On en reparle dans 10ans max si vmware existe encore.
Oracle a fait pareil, il ne reste plus que quelques gros clients encore captifs mais y'a t'il vraiment de nouveaux gogos pour aller chez eux ?
Stellantis, faut être fou pour acheter en 2024 une de leurs bagnole. Je parle pas que de leur puretech, la c3 électrique a l'air d’être une belle bouse aussi.
Je peux aussi citer Adobe, a trop en vouloir la concurrence est de plus en plus féroce, a titre perso je n'utilise plus aucun de leurs produit, j'utilise la suite affinity désormais qui a une très bonne réputation.
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Avatar de jpouly
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 30/03/2025 à 10:42
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Lors de sa dernière communication financière, Broadcom a révélé que les bénéfices générés par VMware dépassaient déjà ses prévisions initiales. Hock Tan, PDG de Broadcom, a souligné que VMware non seulement atteignait, mais surpassait les objectifs en termes de rentabilité et de croissance des marges. Cela s’explique par une meilleure intégration des services VMware au sein de l’offre Broadcom et par une optimisation des coûts.
Bizarre ça, car une très grosse partie des entreprises passent à HyperV ou Proxmox (ou autre).

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Le modèle de gestion des licences logicielles est-il devenu trop complexe pour les entreprises ? Est-ce que la complexité croissante des logiciels et des licences est responsable des erreurs de comptabilité des entreprises comme Siemens ?
C'est une arnaque sans non car les coûts de licences explosent. Et ça laisse croire aux comptables qu'ils peuvent arrêter la ligne de dépense en claquant des doigts.
Ils ne comprennent pas l’intérêt vital pour l'entreprise. Les DSI sont fautives d'avoir laissé faire.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Que pensez-vous du fait que Siemens a refusé les audits de VMware ? Qu'est-ce qui pourrait le justifier ?
C'est la méthode Oracle, faire peur. Mais la c'est Siemens .

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
L'acquisition de VMware par Broadcom a-t-elle eu un impact négatif sur la relation de l'entreprise avec ses clients, en particulier sur la manière dont les licences sont gérées ?
Il suffit de lire ceci : https://www.legalis.net/actualite/th...rat-par-vmware

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Peut-on encore parler de piratage lorsqu'une entreprise utilise un logiciel sans respecter les termes exacts de la licence, mais de manière non intentionnelle ?
C'est monnaie courante avec les contrats types "Open". Il y a une régularisation qui intervient tous les ans entre le client et l'éditeur.
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Avatar de Artaeus
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 06/07/2025 à 11:50
Voyant la forte implantation de VMware y compris dans mon entreprises, c'est très difficile de migré quand on a un parc énorme.
On en revient à la même erreur partout : Mettre tout ses oeufs dans le même panier.

Finalement, pour moi, ça sera du ProxMox et du pure libvirt quand c'est possible.
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