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Euro-Cloud Anexia transfère 12 000 machines virtuelles de VMware vers une plateforme KVM développée en interne
Broadcom mise sur l'augmentation des prix, mais risque de détruire l'écosystème VMware

Le , par Bruno

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Euro-Cloud Anexia transfère 12 000 machines virtuelles de VMware vers une plateforme KVM développée en interne,
Broadcom mise sur l'augmentation des prix, mais risque de détruire l'écosystème VMware

L'acquisition de VMware par Broadcom a eu des répercussions immédiates, en particulier pour des acteurs majeurs du secteur du cloud tels qu'Anexia, un fournisseur de services autrichien. Face à des hausses de coûts de licences drastiques, Anexia a pris la décision de migrer 12 000 machines virtuelles (VM) de VMware vers une solution open-source basée sur l'hyperviseur KVM, déjà utilisée dans ses autres services. Cette migration ne relève pas seulement d'une stratégie de réduction des coûts, mais fait également partie d'un effort plus large visant à renforcer son autonomie et à maîtriser davantage ses choix technologiques.

Les récentes actions de Broadcom, perçues par certains comme de l'avidité excessive, ont provoqué une perte de confiance parmi ses clients, un phénomène qui pourrait inciter d’autres entreprises à suivre l'exemple d’Anexia. Les nouvelles conditions imposées par Broadcom, notamment des hausses de prix avoisinant les 500 %, ont rendu les relations commerciales précédentes insoutenables pour des entreprises comme Anexia, qui ont vu leur trésorerie mise sous pression. Face à ces défis, Anexia n'a pas seulement migré vers KVM, mais a aussi développé un outil de migration simple, permettant à ses clients de passer facilement de VMware à KVM en quelques clics. Ce processus, bien que complexe, a permis à Anexia de conserver sa clientèle tout en consolidant sa position face à un marché incertain.


Fondé en 2006, Anexia est basé en Autriche et fournit des services cloud à partir de plus de 100 sites dans le monde en plaçant des équipements dans des centres de données tiers. Elle compte parmi ses clients le fournisseur de services d'accès et de contrôle à distance TeamViewer et la compagnie aérienne Lufthansa, ainsi que de nombreuses autres entreprises qui ont besoin d'un hébergement et d'un service fiables.

Le 22 novembre 2023, Broadcom, un leader mondial dans la conception de puces et de solutions logicielles d'infrastructure, a annoncé avoir acquis VMware. Hock Tan, le PDG de Broadcom, a souligné la synergie entre les deux entreprises, avec l'objectif de devenir des pionniers dans le domaine des technologies d'infrastructure. La priorité sera donnée à l'amélioration des environnements de cloud privé et hybride, à l'investissement dans VMware Cloud Foundation, ainsi qu’au développement de services comme VMware Tanzu et Advanced Security.

VMware, basée à Palo Alto en Californie, est une société américaine spécialisée dans le cloud computing et la virtualisation, qui a été la première à réussir commercialement la virtualisation de l'architecture x86, là où d'autres avaient échoué.

Broadcom avait également annoncé la finalisation de l'acquisition de VMware. Hock Tan, président et directeur général de Broadcom, a exprimé sa satisfaction en déclarant : « Nous sommes enthousiastes d’accueillir VMware au sein de Broadcom et de réunir nos équipes dédiées à l’innovation et à l’ingénierie. Ce partenariat constitue une étape importante pour établir Broadcom comme le leader mondial des technologies d'infrastructure. Avec une vision partagée de la réussite de nos clients, nous sommes idéalement placés pour aider les entreprises à adopter des environnements de cloud privés et hybrides, tout en les rendant plus sécurisés et plus résilients.

La montée en puissance des alternatives open-source face à VMware et Broadcom

Depuis toujours, Broadcom investit dans les entreprises qu’il acquiert pour favoriser leur croissance durable, et nous poursuivrons cette approche avec VMware pour le plus grand bénéfice de toutes les parties prenantes. » Cette évolution soulève des questions sur l'avenir de VMware sous la direction de Broadcom. Si l'augmentation des coûts continue, d'autres acteurs du marché pourraient envisager des alternatives open-source ou d'autres solutions plus économiques et souveraines, accélérant ainsi une transition vers des environnements cloud plus flexibles et transparents.

Broadcom a perdu un autre client majeur de sa plateforme VMware : le fournisseur autrichien de services cloud Anexia, qui a migré 12 000 machines virtuelles, utilisées par de grandes entreprises européennes, vers une solution open-source basée sur l'hyperviseur KVM. Fondée en 2006 et située en Autriche, Anexia offre des services cloud à partir de plus de 100 sites à travers le monde, en utilisant des centres de données tiers. Parmi ses clients figurent des entreprises comme TeamViewer et Lufthansa, ainsi que de nombreuses autres nécessitant un hébergement fiable.

Le PDG, Alexander Windbichler, a expliqué à que bien qu’Anexia ait pu continuer à exploiter un cloud VMware après l'acquisition par Broadcom, l'augmentation des coûts des licences et les changements dans le programme de partenariat ont rendu cette option inviable. Les nouvelles conditions imposées par Broadcom ont entraîné une hausse importante du coût des licences, une augmentation que Windbichler a estimée supérieure à 500 % mais qu'il a préféré ne pas préciser. Selon lui, cette hausse aurait eu un impact financier « existentiel » pour l'entreprise.

L'ancien modèle de paiement mensuel de VMware, auquel Anexia était habituée, a été remplacé par un paiement annuel avec un contrat de deux ans, créant une pression extrême sur la trésorerie de l'entreprise. Windbichler a souligné qu'Anexia n'aurait pas pu continuer à rivaliser sur le marché, d'autant que ses clients sous contrat refusaient de supporter l'augmentation des prix. Bien qu'une action en justice ait été envisagée, le PDG a jugé que cela aurait été trop long et coûteux.

Face à cette situation, Anexia a pris la décision de migrer vers KVM, facilité par le fait que la société possédait déjà une autre entreprise d'hébergement, Netcup, utilisant cette technologie. De plus, grâce à une couche d'abstraction nommée « Anexia Engine », Anexia avait masqué l'utilisation de VMware aux yeux de ses clients, qui géraient leurs parcs de machines virtuelles via une interface différente. En outre, étant déjà un grand utilisateur de stockage NetApp, Anexia pouvait réorienter les nouvelles machines virtuelles vers les volumes existants. Un autre atout est que KVM est compatible avec le format de disque VMDK de VMware, ce qui a facilité la transition.

Broadcom met en péril la fidélité des clients avec des hausses de prix excessives

La décision d'Anexia de migrer 12 000 machines virtuelles de VMware vers une solution open source basée sur KVM soulève plusieurs questions intéressantes, notamment sur la réaction de Broadcom face à cette perte de client majeur. L’augmentation significative des coûts de licences, que certains estiment supérieure à 500 %, semble avoir été le déclencheur de cette migration.

Le modèle commercial de Broadcom, axé sur des hausses de tarifs substantielles et une exigence de paiement anticipé pour des périodes prolongées, a poussé des entreprises comme Anexia à chercher des alternatives plus viables sur le long terme. Cette approche, qui semble se concentrer uniquement sur l'augmentation de la valeur actionnariale, pourrait à court terme rapporter à Broadcom, mais elle pourrait également nuire à la fidélité des clients et à l’image de la marque sur la durée.

L'exemple d’Anexia montre que la migration de VMware à une plateforme comme KVM n’est pas aussi complexe qu’on pourrait le penser, en particulier lorsqu’il existe déjà des outils et des infrastructures capables de faciliter cette transition. Le succès de cette migration repose également sur l'absence de dépendance aux spécificités de VMware, grâce à une couche d’abstraction (le « moteur Anexia ») qui masquait l’utilisation de VMware pour les clients. En outre, Anexia a su exploiter sa plateforme existante (Netcup) et a développé des outils de migration qui simplifient le processus pour ses clients, rendant la transition à la fois rapide et indolore.

Cependant, la migration ne s'est pas faite sans défis. La nécessité de gérer deux instances de machines virtuelles pendant la transition a engendré des coûts supplémentaires en termes de capacité matérielle, ce qui a nécessité une planification minutieuse des ressources. Malgré cela, Anexia a réussi à effectuer cette migration sans modifier son infrastructure physique, un exploit impressionnant compte tenu de la complexité du projet.


L’acquisition de VMware par Broadcom pourrait marquer un tournant dans l’industrie, avec la possibilité que d'autres entreprises suivent l’exemple d’Anexia en choisissant de migrer vers des solutions open-source ou moins coûteuses. Ce mouvement pourrait signaler un changement dans l'attitude des entreprises vis-à-vis des fournisseurs de solutions propriétaires, surtout si ces derniers continuent de privilégier des modèles tarifaires agressifs.

Enfin, l’hostilité grandissante envers Broadcom, soulignée par la perte de confiance de nombreux clients, pourrait influencer l'avenir de VMware sous cette nouvelle direction. Bien que Broadcom semble miser sur l'augmentation immédiate de la rentabilité, la stratégie de pression tarifaire pourrait entraîner une érosion de la base de clients fidèles et ouvrir la voie à des alternatives compétitives comme Proxmox ou XCP-NG, qui continuent de croître en fonctionnalités et en adoption.

Source : Alexander Windbichler, CEO at ANEXIA | European Cloud Provider, during an interview

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?

Est-ce que la migration de 12 000 machines virtuelles par Anexia vers une solution open-source montre la fragilité du modèle propriétaire de VMware face aux pressions tarifaires ?

Broadcom, en augmentant les prix de manière drastique, a-t-il sous-estimé la capacité des entreprises à migrer vers des alternatives open-source comme KVM ?

Voir aussi :

Broadcom, le fabricant de puces, finalise l'acquisition de VMware, une façon originale de perdre 60 milliards de dollars ?

Le fabricant de puces Broadcom va racheter VMware pour 61 milliards de dollars et prendra également en charge 8 milliards de dollars de la dette nette de VMware
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre expert https://www.developpez.com
Le 28/06/2025 à 1:03
Je conseil le boycott, le comportement de Broadcom semble totalement abusif, on est au minimum au niveau du comportement d'HP avec les imprimantes.
Et d'ailleurs, idem pour la majorité des SaaS, quand il n'y a pas de service clair, mais juste un logiciel. Par définition, un service c'est pour un service, pas un logiciel inerte.
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Avatar de Marianus
Futur Membre du Club https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 13:08
Nous avons quitté VMware et utilisons Proxmox depuis des années.
Très stable, beaucoup de fonctionnalités.
Possibilité (pas obligatoire) d'avoir du support à un prix très raisonnable.
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Avatar de Christophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 30/03/2025 à 12:08
Bizarre ça, car une très grosse partie des entreprises passent à HyperV ou Proxmox (ou autre).
Les entreprises historiquement sur VMWare ne peuvent pas migrer du jour au lendemain un nombre conséquent de VM et cela représente un coût. Si les bénéfices de la branche VMWare de Broadcom doivent baisser, ça se fera progressivement, et dans un premier temps l'augmentation des marges compensera la baisse des ventes.

Il y a de fortes chances en tout cas que de nouveaux projets ne soient pas initiés avec VMWare. Et avec le nombres d'article expliquant que certaines entreprises ont migrés beaucoup de VM hors VMWare, il pourra y avoir un effet boule de neige.

Et en cas de serveurs sur le cloud, le cout VMWare, éventuellement inclus avec l'offre n'est pas visible pour les contrôleurs de gestion.
3  0 
Avatar de Christophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 28/06/2025 à 9:40
Avez-vous vécu (directement ou indirectement) la situation rencontrée par ces autres entreprises (mise en demeure, audits) ?
Avec Microsoft, reçu courrier un courrier demandant si on était en conformité sur les licences après achat licences en volume.

Les détenteurs de licences perpétuelles ont-ils réellement tort d’utiliser des correctifs de sécurité installés avant l’expiration du support ?

Est-ce qu’un contrat de licence logicielle devrait interdire l’usage passif de correctifs installés auparavant ?

Un éditeur peut-il modifier unilatéralement la manière dont les licences sont interprétées après coup ?
Je pense qu'il s'agit de clauses abusives.

Le forcing vers les abonnements est-il une stratégie viable à long terme pour Broadcom ?
A votre avis ?

Peut-on parler de vente liée déguisée dans le regroupement forcé de produits VMware dans les nouveaux bundles Broadcom ?
Je pense que Broadcom a le droit d'appliquer ce regroupement forcé, mais que rien n'oblige un client potentiel à accepter.

VMware n'est pas en situation de monopole, plein d'autres produits peuvent le remplacer (gratuit ou non).
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Avatar de Anselme45
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 28/06/2025 à 12:10
Broadcom applique simplement la stratégie qui a été proposée par ses avocats: Y aller au bluffe en faisant peur aux clients, il y en aura qui cèderont et ce sera tout benef pour Broadcom.

D'ailleurs, si vous avez eu affaire à des avocats dans des situations litigieuses, vous aurez constaté que c'est toujours l'approche mis en oeuvre par les avocats "Parler fort et intimider le camp opposé". Quand vous leur répondez avec le même ton, vous n'en entendez plus parlé. Pour quelle raison? Tout simplement parce que si la situation était claire et facilement défendable en justice, ils auraient même pas pris la peine de vous parler, ils auraient obtenu gain de cause par une procédure simple en justice avec 100% de chance de gagner.

La réalité judiciaire est tout autre:

1. Une licence universelle ne peut pas être résiliée (à moins que la société fasse faillite, ce qui n'est pas le cas de Broadcom)

2. Une licence universelle s'apparente à l'achat du logiciel et est donc soumise à une période de garantie dont la durée dépend de loi en vigueur dans le pays concerné (habituellement entre 1 et 2 ans)

Donc:

1. Broadcom ne peut pas empêcher ses clients d'utiliser VMware ni de faire usage des mises à jour couvertes par un abonnement. A la fin de l'abonnement, court toujours la période de garantie qui oblige à corriger gratuitement les défauts constatés.

2. Concernant les mises à jour qui auraient été effectuées par les clients alors qu'ils n'étaient plus soumis à un abonnement: Si cela a été possible, Broadcom est en tort, c'était à eux d'empêcher l'usage d'update hors abonnement.... D'ailleurs, je ne crois pas un instant que cela ait été possible

3. Les clients de Broadcom n'ont qu'une chose à faire, s'assoir sur les lettres envoyées par Broadcom... Je serai très étonné que cette boite ouvre une procédure judiciaire hasardeuse contre chaque client qui leur dira "allez vous faire foutre!"
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Avatar de jpouly
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 26/07/2025 à 21:40
Citation Envoyé par floyer Voir le message
L’abonnement, c’est le principe de la location. Donc oui, dès que tu arrêtes de payer, cela s’arrête. Mais normalement, le prix est bien inférieur à celui de la licence perpétuelle lorsqu’elle est proposée. Et de toute manière les choses sont claires. (La différence Office vs. Office365, ou ComposerCloud vs. chaque produit du catalogue EWQL)…

Là où c’est problématique est quand tu as le prix d’une licence perpétuelle, avec une durée de vie limitée sans que ce soit indiqué.

Ou quand le support de la licence perpétuelle disparaît de façon imprévue.
Le prix est bien inférieur ... ça dépend. Et si tu compte l'usage d'un logiciel sur 5 ans, c'est pas dit.

Exemple avec Office :
  • Office Famille et Petite Entreprise 2024 : 299 euros TTC en perpétuelle.
  • Microsoft 365 Apps for business : 9,80 euros HT soit 705,60 euros TTC sur 5 ans (9,8 * 12 * 5 * 1.2)


Et si le prix de l'abonnement augmente, là tu es carrément perdant.

Alors effectivement l'avantage d'Office 365, c'est les 1To de stockage sur le cloud. Mais est-ce que ça vaut 406 euros ?
Pour 399 euros, tu as 2 To à vie chez pCloud, donc ...

Et une fois que tu as acheté Office 2024, rien ne t’empêche de l'utiliser pendant 10 ans ou plus. Tant que ton OS est compatible .
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Avatar de damthemad
Membre actif https://www.developpez.com
Le 16/01/2025 à 9:30
Un seul mot : BRAVO.
Prends ça dans ta face Broadcom !
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Avatar de pierrelpu
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 29/03/2025 à 1:33
Stratégie d'essorage. On rachète une boite, un produit pour faire de la marge.
En multipliant les prix par x 10 ou x 50 parfois.

Forcément les clients trouverons toujours un moyen de ne pas payer.
D'abord en fraudant, puis en fuyant.
2  0 
Avatar de Artaeus
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 06/07/2025 à 11:50
Voyant la forte implantation de VMware y compris dans mon entreprises, c'est très difficile de migré quand on a un parc énorme.
On en revient à la même erreur partout : Mettre tout ses oeufs dans le même panier.

Finalement, pour moi, ça sera du ProxMox et du pure libvirt quand c'est possible.
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Avatar de jpouly
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 26/07/2025 à 15:49
Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
Licence perpétuelle ou abonnement : de quel bord êtes-vous ? Pourquoi ?
Le gros problème de l'abonnement, c'est que l'on ne procède plus la licence, donc plus aucun droit d'utilisation.
Juste le droit de payer. Et que se passe t'il si on ne paye plus ? Les éditeurs ne s'étendent pas sur le sujet.

Par contre, les clients d'Adobe eux s'en mordent encore les doigts. Des années de travail perdus !
Et ceux de Broadcom aussi, visiblement.

Donc les licences perpétuelles sont le seul choix possible.
A moins qu'il y ai une vrai raison de payer tous les mois pour avoir un logiciel à jour. Par exemple si la législation évolue tous les mois. Mais c'est des métiers/logiciels très spécifiques.

Un petit lien sur le sujet : https://www.captaincontrat.com/prote...ation-logiciel.

Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
Avez-vous utilisé une licence perpétuelle VMware ? Avez-vous l'intention de passer à l'abonnement ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
Non, on est passé à HyperV de M$ avec regret (à cause des mises à jour de Microbug).
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